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Femme libérée !

Ephésiens 5.22 – Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur.

Être une femme libérée ! Ah ! Ce grand slogan, être une femme libérée ! Il a fait un tabac et l’objet même de chansons.

Il fût un temps où dans nos pays européens, la femme était souvent rabaissée, considérée comme inférieure aux hommes. C’était ancré dans les mœurs et c’est ainsi que de nombreuses femmes se sont retrouvées sous la domination d’un époux, ne pouvant pas s’exprimer, toute revendication étant proscrite. Il s’en est suivi une forme de « révolution » où la femme a décidé que cela devait changer : ainsi elle ne serait plus asservie et elle serait l’égal de l’homme dans tous les domaines. La femme a donc commencé à prendre progressivement son indépendance, à vivre ses propres choix en croyant ainsi devenir une femme « libre ».

Nous faisons néanmoins un triste constat. Les gens vivent sous le même toit, ils partagent le même lit mais ils sont seuls, terriblement seuls et face à une soif de bonheur et de liberté intense. C’est là, aujourd’hui, que je voudrais m’arrêter.

Dieu est un Dieu d’équilibre. L’ennemi de nos âmes, quant à lui, fait tout son possible pour conduire les êtres humains dans toutes sortes d’extrêmes car il sait que quand nous allons dans ces extrêmes, nous nous mettons en danger et nous sortons du plan de Dieu pour nos vies, parce que nous sortons de la sphère d’autorité instaurée par Dieu. La femme effectivement doit être amenée à reprendre sa place de femme et de ce fait d’épouse et être une femme libérée. Mais quelle est cette place ? Quelle est cette libération ?

La place de la femme n’est pas celle de l’homme. Une femme ne sera jamais un homme et vice-versa (quoi qu’on en dise). La femme a des fonctionnements qui sont propres à ceux d’une femme. Elle a été conçue pour être une aide semblable à son époux, tous deux se complètent et ni l’un, ni l’autre ne doit « dominer ». Je mets le verbe « dominer » entre guillemet car là je parle de la domination qui asservit, qui rend esclave. Cependant, la Parole de Dieu nous dit que la femme doit être soumise à son mari. Quelle est donc cette soumission ?

La soumission, comme il est écrit plus haut, a souvent été mal comprise car souvent assimilée à une infériorité. Jésus était soumis à son Père, cependant, Il n’est en rien inférieur. Cette soumission a trait à la responsabilité. Quand une femme se soumet à son époux, elle se met sous sa protection parce qu’il est le leader spirituel du foyer. Elle peut ainsi pleinement profiter de la sécurité. C’est ainsi qu’elle peut entrer dans son plein potentiel pour Dieu et dans une vie libérée.

Je voudrais encourager chaque femme à se placer devant le Seigneur et à se laisser interpeller par Lui. Suis-je à ma place ? Si la réponse est non, dites au Seigneur : « Seigneur, je désire reprendre la place de choix que tu as pour moi au sein de mon couple. » C’est une prière à laquelle Dieu ne manquera pas de répondre. Tu es précieuse. Sois pleinement bénie.

Sachez que dans un court article comme celui-ci, on ne peut pas envisager tous les cas de figure, si vous avez besoin d’en parler, n’hésitez pas à m’écrire.

Bonne réflexion.

Article 0131 – Pasteur Corinne – ez37m.com – Copyright 14 février 2018 © Tous droits réservés. 

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